vendredi 26 janvier 2018

Amour mien, mon amour amour,
merci de me faire partager tes amours. Merci pour les photos. Merci de m'offrir tes vies, ta vie, ton coeur immense, si grand qu'il les tient, tes merveilles, en toi. Merci... Vous êtes beaux. Merci pour tes merveilles. Merci d'être...
Vous regarder et regretter de ne pas avoir pu t'offrir un enfant, un enfant de nous, un enfant de mon ventre, un enfant qui aurait eu, j'en suis sure, ta gentillesse, ton intelligence des choses, ta fragilité, tes sensibilités. Regretter...
Je te regarde, je vous regarde.
Je viens de découvrir les 3 photos. Vous êtes beaux. Tu es beau.
Je t'ai maintenant un peu plus, avec tes merveilles, toutes tes merveilles. Merci.
Je ne sais que penser, à l'heure où je t'écris : " les aimer, les aimer.".  Les aimer parce qu'ils sont tiens. Vous aimer parce que vous faites partie, d'une manière ou d'une autre, de ma vie. Vous aimer parce que tu es. T'aimer parce que tu es homme à aimer.
T'aimer parce que tu es mon homme, avec tes passés, avec ce qui est en ce moment, avec ce qui viendra, dans ce qui viendra. T'aimer indissocié des merveilles. T'aimer... À ton coeur j'appose mon coeur : il contient tant de vies à aimer.
À nous deux tant d'amour...
Je t'aime.
Et je sais qu'un jour je déposerai une petite fille, un bébé, en tes bras. Nous l'aurons conçu avec notre amour, avec le coeur. Elle sera enfant de l'amour, pas de la physiologie. L'enfant pour permettre au cycle de se refermer. Elle portera les noms que tu as choisi et que tu as murmuré. Elle sera nous et eux et notre éternité.
Elle sera une merveille elle aussi. Fille d'une lointaine, fille d'un homme aux yeux de brume.
Et je lui raconterai quel homme tu es. Je la ferai dépositaire d'une mémoire pour que tu vives pour l'éternité, dans le souvenir, plus tard. Je lui dirai l'amour en toi, tes rêves, tes mains de bâtisseur, ta démarche, tes larmes, tes lectures, tes musiques. Je lui dirai que toi qui fus si mal aimé a percuté un jour son atome et qu'une femme l'aime et l'a aimé. Je lui dirai que tu es ma poésie. Que tu es sa poésie. Qu'elle fut enfantée dans nos regards accrochés l'un à l'autre, dans nos mains liées, dans nos corps désirs et dans nos coeurs et nos Je t'aime. Je lui chuchoterai que nous l'avons rêvée et que, ce jour là, tu as pleuré, abandonnant ta façade d'homme fort pour redevenir cet homme fragile qui me bouleverse tant. Je lui dirai tout ça. Et qu'elle est une perle. Fille d'un magnifique. Fille du coeur. Fille amour. Fille de nous.
Je vais me battre pour ça. Pour qu'elle existe. Elle nous attend.
Je t'aime tellement...
Tellement.
Rêve nous. Rêve la. Rêve moi. Je suis là. Nous sommes là, elle et moi. Je t'attendrai amour mien.
Je t'aime. Je vous aime, mes merveilles, toutes mes merveilles. Et toi pour seul et unique compagnon, pour seul et unique amant, pour seule et unique vie.
Je t'aime.

MMD

mardi 23 janvier 2018

Mon étoile, ma chair, mon amour,
manquer de toi. Manquer de toi. Manque et manque. Fracture profonde.
Nous regarder heureux de l'autre, apaisés de l'autre et reprendre le chemin de mon regard ininterrompu sur toi.
J'ai retrouvé l'odeur de la mer. Et tu es en elle.
Que Dieu fasse que le manque de toi ne cesse jamais. Manquer de toi signifie ta présence en moi, à moi. En manquant de toi je promène mon amour pour toi et tu es si vivant dans ce vide. Tu es.
Cette nuit, dans la musique, dans la douceur je repars à la toute première fois et je suis encore émerveillée et apeurée, terrifiée. Et je bascule en toi. Je te regarde et te trouve beau, si beau.
J'apprends ta voix. Je ne sais pas encore qu'elle va m'habiter pour l'éternité. Qu'elle m'habite.
Je ne sais pas encore que je vais naître sous tes mains. Je ne le sais pas encore. Je sais juste que je ne suis qu'un immense battement de coeur. Je remonte le temps de nous et je découvre le goût de ta bouche et reçois en moi tes premiers murmures.
Je suis là bas. Tu es beau, tu es immense, tu ne sais pas encore si tu dois rester ou partir. Et, une lettre infinie plus tard, je te remercie d'être resté ce soir là.
Nous vivons la plus belle des histoires. Merci mon ange, mon amant amour amour.
Je t'aime.
Rien n'est facile, rien n'est juste, mais tout est beau.
Tu es aimé amour mien. Tellement aimé. Et tu aimes. Alors oui, manque moi encore et encore! Manque moi à en mourir d'amour pour toi. Manque moi pour que tu continues à vivre poésie au monde. Manque moi pour que l'amour perdure. Manque moi pour maintenant, manque moi pour hier, manque moi pour demain et pour tes bras m'enfermant et ta bouche sur mon front et ma voix amoureuse femelle, au fond de moi, qui récite ton nom et la paix...
Manque moi. Manque de  moi.
Manque de moi pour que je vive en toi, en nous, dans cet espace que tu as dessiné à la mesure de ce qui nous lie.
Je t'aime. Tu me manques.

MMD





lundi 22 janvier 2018

Amour mien,
engluée dans un décalage : heureuse, pas heureuse. Pleine de nous, de toi, vide de nous, de toi. Respirer dans là bas, cet ici de quelques jours devenu maintenant un autre là bas, vivre dans le maintenant d'ici...
Et t'aimer, encore et toujours. T'aimer dans cette re découverte permanente de toi, t'aimer. Je t'aime.
Je porte ma mémoire. Elle m'est chaleur, lumière, douceur, électrique, peau et coeur. Et toi en centre de ce tout qui se brode au fur et à mesure des mois.
Laisser cette vague si belle construire, dé construire. Et t'aimer. T'aimer. Ma fierté. Ma joie. Mon plaisir. Toi. Simplement toi mon homme. Toi mon si gentil. T'aimer.
Comment ne pas t'aimer? Comment ne pas aimer ce toi qui fait partie de moi, qui est en moi, qui me rend femme et plénitude?
Je t'aime mon bel amour.
Et chérir les instants, le temps de nous, ton visage endormi sur mon épaule, ton bras sur mes seins, ta chaleur, ton odeur... ces petits tressaillements de ton sommeil, regarder la ligne de ton visage dans la pénombre, caresser des yeux ton épaule, ressentir de façon si charnelle le poids de ton bras, n'être que cette femme en amour d'une étoile sienne, toute repliée sur son homme et, en même temps, allongée dans un instant si parfait et si simple : regarder, entendre, écouter, aimer, caresser avec son coeur et son âme l'homme qu'elle aime. Paix. Musique. Amour.
T'aimer. Écouter le son de ta voix, chaque mot...
T'aimer. Tes gestes, tes mains, ton corps qui lutte contre la douleur, ta manière de marcher, d'occuper l'espace, tes yeux sur un livre, ton regard, ta nuque, ta façon d'allumer une cigarette...
Ton rire, tes yeux qui soudain deviennent mes Pléiades, ton si beau sourire, le lumineux en ton regard, le gai, le tendre, le taquin... Mes yeux de brume.
T'aimer. Tes larmes soudain, cette émotion, cette fragilité toute en sensibilité, ton coeur que tu déposes en tes yeux et que je prends en moi. Cette enfant que l'on dessine. Ces lointains qui nous attendent. Ta bouche qui dépose un baiser sur ma nuque. Douceur, douceur...
T'aimer. Retrouver la vie quand tu es dans mes espaces amoureux. Retrouver le plaisir et non l'ennui permanent. Retrouver goût de moi sous tes yeux... Petits moments de quotidiens volés au temps et à la prison.
Et t'aimer.
T'aimer quand tu fermes les yeux en m'embrassant, ton visage tendu vers la caresse... T'aimer pour tes mille petits gestes qui sont ta lettre amoureuse, ta poésie de nous...
T'aimer et te trouver si magnifique, si grand, si intelligent, si ouvert aux autres.
L'émerveillement toujours, toujours là. Ta main dans laquelle j'enfouis mon nez et ma bouche. Belles belles mains... Tu es beau.
Je t'aime ma lumière, mon ange, mon amour, si amour, si amour.
Je t'aime. Et si heureuse d'être ta compagne, ta femme amour. Tu me grandis, tu me fais, tu me permets le monde, tu m'oses. Je t'aime.
Je t'aime merveille et merveilles.

MMD

samedi 6 janvier 2018

Le peuple disparu

Où sommes-nous enterrés?
mon peuple de sables
mon peuple de l'eau
mon peuple aux pieds de poussières

Où sont nos tombes?

Où sont nos noms et ceux qui les écrivent?
les noms de nos pères
les noms de nos mères
les noms de nos filles
mon nom fait de l'Alif et d'une virgule

Où sommes-nous enterrés?
Qui arrose nos racines
qui parle notre langue nomade
qui nous allaite
qui nous lave
et nous sert à manger
et nous berce les nuits d'étoiles?

Où sont nos chants et nos poésies?
et nos femmes
et nos enfants
et les troupeaux à l'aube
et la chaleur du feu.

Où sont nos tombes ?

Mon peuple s'est évanoui sous les pierres
il chuchote les heures de grands vents
il dort au Nord, au Sud, à l'Est, à l'Ouest
et au milieu du monde il pleure

Où sommes-nous enterrés?
Oh ma mère, où sommes-nous enterrés?

Mariem mint DERWICH




jeudi 4 janvier 2018

L'emmurée...

Coller le visage aux barreaux
l'oiseau parle parle parle
si je ferme les yeux il déposera le bleu du ciel
et mes paupières seront soleils

J'ai enfermé l'oiseau en mon regard

Arpenter mes sables, mes dunes, mes forêts
un océan m'attend, une mer danse
et les vagues et le sel et les vents

et l'oiseau

Les barreaux collent à ma peau
parle l'oiseau, parle
raconte le monde et la petite fille qui danse
et la femme qui chante sous les mains d'un amour
parle l'oiseau, parle

Dis moi les mondes et les horizons
et des chants pour vivre
l'instant, le mouvement et l'immobilité
les poèmes devenus ors et terres de feux

Parle mon oiseau
parle la langue libre
la langue nomade
la langue des silences

Scelle mes paupières
les barreaux m'étouffent
rends les lointains et voiliers
et phare

Je rêve que je rêve

et un oiseau a fait son nid en mes cheveux

L'emmurée rêve qu'elle rêve...

Mariem mint DERWICH

mercredi 3 janvier 2018

Mon tendre, mon doux, mon mien...
Sentir, ressentir ta lassitude, ton désarroi face à la violence ré apparue, face à ce laminage pervers de toi et être là, mains vides, dans l'incapacité de refermer mon amour sur toi, de t'apaiser, de t'écouter, de te faire sentir un autre monde...
Mon tendre, si tendre... De toutes mes forces j'essaie de t'envoyer mon amour, ma tendresse, mon respect de toi, mon admiration de toi, mon désir de toi, mon émerveillement de toi. De toutes mes forces, pour que tu t'accroches à nous et au fait qu'il existe un autre monde, sans cris, sans méchancetés, sans névroses.
De toutes mes forces je lance tout ça vers tes lointains...
Je t'aime. Je suis en colère contre tout ça. En colère car je ne supporte pas l'idée que l'on puisse te faire du mal juste pour cacher ses nullités et ses médiocrités... La méchanceté est l'arme du faible, de celle qui n'a rien à dire, rien à penser, rien à offrir au monde et aux autres, pas d'amour en elle sauf un amour hypertrophié d'elle même, un ego si monstrueux qu'il lui fait oublier l'autre...
Alors je vais te redire qui tu es, quel homme est en toi. Je te le redirai jusqu'à ce que tu te regardes autrement, hors de cette anesthésie de toi qui te fais t'oublier pour accepter l'inacceptable ( et non je ne t'idéalise pas; je parle juste de l'homme qui m'a percutée, cet homme que j'ai attendu toute ma vie).
Je te vais te reparler de cet homme que j'aime à en vivre, toi : tu es intelligent, de cette intelligence des choses et des autres, de cette sensibilité à la beauté et au monde. Tu es un musicien, une âme musicienne. Tu es un amoureux des mots. Tu sais tant de choses, de ces savoirs appris et de ces savoirs que tes mains rendent naturels. Tu es bon. Ton coeur est immense. En lui tu portes tant de vies. Tu n'es pas facile parfois mais même en tes colères j'entends l'homme qui, parfois, craque. Tu es beau, si beau, tellement beau... Même ton corps martyrisé est beau. Il raconte des histoires de libertés, de jeux avec les éléments, de courage et de rêves à vivre. Tu es beau. Tu es homme aux silences comme des profondeurs pour ceux qui savent entendre et écouter. Tu ne parles pas beaucoup mais tu t'illumines quand les mots de tes passions te viennent et, alors, tu es homme à regarder briller.
Tu es mon homme qui sait refermer ses bras sur une femme qui tremble et qui pleure.
Tu es un amoureux des livres, de la lecture, de ces temps coupés du monde.
Tu es si fragile souvent, en ces moments où tu baisses la garde et te mets à pleurer et où ton regard redevient celui du petit garçon que tu fus. Mon homme perdu parfois et qui a su pleurer en mon regard...
Tu es fragile de tes histoires passées, de toutes ces cicatrices mises à ton amour, aux tiens, de ce qui n'a pas marché avant et que tu portes comme une croix, de ce qui te fut retiré, de ce qui est blessé en toi, profondément blessé. Tu es mon fragile homme mien. Cela te rend étoile en moi.
Tu es mon homme des vents et des grands larges et des présents rendus à tes attentions dans la construction d'un bonheur des tiens. Tu es cet homme là et tellement plus encore. Je t'ai eu en moi, j'ai imprimé ton odeur sur ma peau. Je t'ai eu en entier dans le tremblement du plaisir et dans la légèreté d'un rire, là bas, là bas... Tu es celui qui sait tout faire avec ses mains, même reconstruire une femme explosée.  Et la rendre à la musique, à la lumière, à l'infini et à l'amour...
Tu as mis au monde des entants qui ont tes audaces et tes rêves et tes libertés... Ils sont toi, tellement toi... Tellement toi...
Je n'ai que mon amour à t'offrir et une vie possible, enfin. Toutes ces années à nous attendre, même quand nous avons cru que plus rien ne nous arriverait et que nous avons accepté la mort lente, douloureuse, de nous dans des couples atonie et tristes... Ne pas rater le rendez-vous coeur mien, homme mien, bel amour mien... Surtout ne pas rater le rendez-vous et parfaire ce cycle pour que d'autres cycles viennent et d'autres danses, d'autres vies où Rumi tourne pour l'éternité pour ceux qui aiment et s'aiment...
Je t'attends. Et je t'attendrai. Mes bras t'attendront. Et mon coeur aussi, ce coeur qui t'appartient. Et mon corps. Et tout ce que je peux t'offrir, vous offrir, nous offrir.
Je t'aime.
Tu me manques mon étoile lointaine, ma respiration, mes battements de coeur. Je suis là amour mien. Je suis là.

MMD

mardi 2 janvier 2018

À t'aimer...

Au milieu de toute cette laideur déclenchée par le cover et mes cheveux dévoilés, j'éprouve le besoin viscéral de toi, de ta présence, même symbolique. Tant de violences, tant de haine déversées sur les réseaux sociaux... Tant de haine envers moi.
Alors je me coule en tes bras, je pose ma tête sur ton épaule, je t'écoute respirer et me rendre à la beauté et à la simplicité des choses. Je te respire pour pouvoir respirer à nouveau amour mien.
Je te regarde.
Besoin de douceur, de ta douceur, de ta tendresse.
J'accroche mes yeux à ta bouche pendant que je t'écris. À tes lèvres, au souvenir vivant de ce qu'elles déposent à ma peau et en mon ventre, au gonflé de ta lèvre inférieure qui me chavire, littéralement...
Je t'aime. Tu le sais. Tu me l'entends te dire.
Mais ce soir j'ai encore plus besoin de te le dire. Comme j'ai encore plus besoin de me raccrocher à toi mon lumineux, mon intelligent, mon homme. Mon homme entier, entier dans son regard sur le monde, entier dans son coeur si blanc, entier dans ses mots, parfois maladroits, entier dans sa pudeur, entier dans son amour pour nous.
J'ai encore ta voix en moi, ta voix de cette après midi, et ton sourire, et ta gaité et ton humour...
Je t'aime. Et en t'aimant je sais pourquoi je me bats : pour avoir le droit de t'aimer. Simplement t'aimer. Entièrement t'aimer. Profondément. Avec mes tripes et ma raison, et mon coeur et mon âme, et ma peau. Et mon sang. T'aimer, mon homme à aimer. T'aimer. Et être aimée par toi.
Si tu lisais l'arabe tu verrais la laideur. Enfermée, prisonnière de mes cheveux. Pas de réactions sur ce que je dis, seulement sur le fait que j'ai laissé voir mes cheveux... Je suis au tribunal de l'Inquisition.
Je le savais. Je n'en ai pas peur. J'y suis habituée ( même si, cette fois ci, c'est très très violent). Et je ne lâcherai rien.
Mais je suis lasse. Si fatiguée de cette lutte permanente pour être moi. Jamais moi...
Je ne suis moi qu'avec toi. Tu es mon pays, mon passeport, mon identité, ma paix.
Je t'aime.
Je sais que tu t'inquiètes pour moi. Mais souviens toi que je suis libre. Libre. Et que tu m'as aussi aimée pour ceci. Mes fragilités, mes forces, mes combats, mes mots.
Je t'aime. Dieu que j'aimerais que tu sois là pour refermer la porte aux laideurs et aux insultes.
Je regarde ta bouche. Je ne dois pas la quitter des yeux. Je ne dois pas...
Je t'aime mon amour. Mon amour. Mon combat le plus important. Ma vie intime. Les années qui viennent. Et nous. Nous. Nous comme quelque chose de beau, de tellement beau, tellement tendre, tellement fort. Nous pour dire merde à ceux qui vocifèrent. Nous pour que nous vivions.
Je t'aime. Je vous aime. Partie de moi. Orpheline de vous. Mes merveilles.
Ce soir je vais te regarder dormir et puiser en toi du courage. Et je vais te murmurer mon désir de toi, mon amour pour toi, mon charnel de toi.
Peut-être m'entendras -tu dans ton sommeil. Comme moi je te rêve de plus en plus.
Je suis là mon homme, là. Simplement là. Me sens-tu en tes bras, allongés dans une pénombre musiques?
Je t'aime. Aime moi. Aime moi mon bel bel amour, mon magnifique mien...
À t'aimer compagnon mien et à être aimée de toi je n'ai pas peur. Je t'aime. Je t'aime.
Aimer, aimer, aimer... Sens du monde et de nous. Aimer. Je t'aime et je nous aime, même imparfaits et coincés dans une situation peu confortable. Je nous aime. Je t'aime.
Cette nuit je vais dormir au son de ta play list, de toutes ces musiques que je lance au bout de mon monde. Je vais les laisser afin de me bercer en toi et en nous. Tes musiques, nos musiques. Peut-être qu'au réveil j'ouvrirai les yeux sur toi... Peut-être...
Oh mon lointain, je t'aime, je t'aime...

MMD