vendredi 14 juillet 2017

À la particule de cet instant, s'ouvrir en présent...
Tu me manques. Heures de ma nuit où je suis dans un souvenir et où tu habites une musique...
Toi là bas, dans cet horizon qui m'échappe. Tu me manques. Je te sais en train de dormir et je suis là, à t'effleurer dans ton sommeil, à écouter ta respiration, à regarder ta poitrine qui se soulève. Je suis là... Comme je fus là bas, dans le bruit d'une marée montante et de pirogues, dans une nuit emplie de vent et que je t'écoutais dormir et où tu m'as laissée m'endormir sur ton épaule.
Tu me manques.
Tu es mon évidence. Je repars en ton odeur, en ton sourire, ce si beau sourire, en ton regard, en tes mains qui glissent sur mes hanches, en tes silences... Et je vais m'endormir femme en amour. Je t'aime. Tu me manques ma belle histoire, mon magique, mon bel bel amour...
À cette nuit dans mon bout du monde, musique de toi pour adoucir et pour que tu entendes, que tu entendes....
Je t'aime homme mien.
Bach pour cet amour de toi que je brode cette nuit, pour la beauté, pour la profondeur, pour ton bout du monde, pour toi ma merveille, mon atome, mon lointain... Tu me manques.

MMD


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