dimanche 2 avril 2017

En apparence n'être que ce masque lisse de la normalité des choses. Et, à l'intérieur, être bouillonnement, tsunami d'émotions, sentiments qui tournent, effervescence, désirs, rires, battements de coeur rapides et, toujours, ce même émerveillement... Toujours...
Comme si l'attraction se faisait à chaque fois neuve...
Je te regarde et en moi danse la femme que je suis...
Je dors sur la partie de ton coeur que j'habite, celle où je suis heureuse, celle qui rend tout si facile, si léger...
Je n'entends que cette femme qui trouve une paix, une femme aux doigts impatients, une femme qui rit, qui pose sa main sur ta peau et qui, soudain, se fait frissons.
C'est l'entre deux, l'irrationnel devenu amant, cette terre faite vagues, celle où j'ai ma main en la tienne et où je te dis " je suis femme neuve à écrire, ma vie est ta main qui tient la mienne. Je suis aveugle, emmène moi au bout des mondes. Je suis confiance, abandon. Tes yeux dessinent les miens. Me voilà dans mon abandon devant toi. Tiens ma main, tiens la...".
Un battement de coeur dit l'homme mien et l'âme des choses.
Et à ta main qui tient la mienne j'inscris tous ces mots qui dansent en moi, ceux de l'amante, ceux de l'amour... Tous ces mots qui tournent en moi, secondes après secondes, dialogue silencieux qui a ta silhouette.
Tu habites mes centres. Homme de ma vie, homme de mon tout, homme à aimer, amant, amour...
Je te sable, je te moiteur, je te vagues, je te houle, je te océan, je te eau, je te sel, je te musiques, je te là bas, je te souvenirs, je te mémoire, je te partages, je te effleurements...
Et parmi tous ces mots de mon amour de toi, pour toi, il est ma main en ta main abandonnée, déposée en ta force, en ta  volonté, en ton sentiment de moi, en ta tendresse, en tes silences et en tes regards...
Ma main que tu tiens et mes doigts qui te choisissent encore et encore.
Je t'aime homme mien.
Merci....

MMD


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