dimanche 12 mars 2017

Ma lettre infinie... Tes bras

Je t'aime. Je ne sais que ça, cette certitude absolue.
Tout à l'heure, quand j'avais mon nez dans ton cou, que je te respirais, je ne pensais qu'à ça " je t'aime, je t'aime, je t'aime ", mantra d'une femme amoureuse.
Je t'aime.
Je ne doute pas de toi. Je doute de moi. Entends le. Comprends le

J'ai besoin de tes bras. Terriblement besoin en ce moment. Que tu me tiennes, que tu me tiennes.
Je ne sais pas quoi faire de moi.
Tu es ma seule certitude, celle qui me rassure. Je n'arrive pas bien à dire les choses. Tu le sais. Mais je sais que j'ai besoin de tes bras, d'un moment qui s'étire, d'un moment de nous, à nous, rien que nous. Comme une urgence.
Je t'aime. Tu me tires hors de ma nuit, celle dans laquelle je m'étais noyée. Tu es le premier qui prend soin de moi. Cela m'émerveille toujours autant. Tu m'emerveilles.
Tu me permets de recoller les morceaux de moi.
J'ai besoin de tes bras. C'est tout. C'est beaucoup et si simple en même temps.
Besoin de tes bras, besoin de tes silences besoin de ton odeur, besoin de ton corps, besoin de toi en moi, besoin de tes doigts sur mon épaule... Un espace sans les autres.
Un espace où un homme mien, toi, fermerait la porte à mes peurs.
Où je vivrais cet homme mien, celui que j'aime, celui qui me chavire.
Ta présence dans notre lieu de nous, près de moi m'a apaisée. Tu l'as senti.
Aujourd'hui fut un sale jour pour moi. Sale, laid, piquant.
Tu me fus lumière, aide précieuse, main, amour.
Je t'aime. J'ai besoin de tes bras. J'ai besoin de toi. J'ai envie de toi.
Je ne demande pas pardon pour ma terreur aujourd'hui. Je viens de si loin, d'un monde si dur, d'une terre affreuse. J'y ai vécu tellement longtemps dans ce désert que ma nouvelle vie m'effraie parfois.
Je ne demande pas pardon pour ça.
Je te demande pardon de te l'avoir imposé même si je ne veux rien te cacher. Je me suis cachée toute ma vie. Avec toi je ne le veux pas sinon ça ne serait pas t'aimer.
Je t'aime. Tu ne t'en rends pas compte sûrement mais tu m'aides.
Reste mon homme des merveilles. Ma lettre infinie. Mon amour.
J'ai besoin de tes bras. De ta tendresse. De ce que tu es, mon homme aimé et bon, mon bel amour.
Si beau, si beau... Qui ne sait plus qui il est. Mon homme amour. Mon magnifique.
Je vais aller me coucher. J'ai toujours mon nez dans ton cou. Je te respire. Ton odeur est ma maison.
Et dans ton cou je vais continuer à te murmurer que je t'aime, que tu es l'homme de ma vie, de mon corps, de mon coeur.
Tu vas me prendre dans tes bras, ouvrir ma bouche. Alors je deposerai ce qui n'allait pas.
J'ai besoin de tes bras.
Tu me manques.
Je t'aime.

MMD

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