mercredi 22 mars 2017

Parce que rien ne s'arrête.... Parce que l'infini est ma prière amoureuse...

Te voir rire est un vrai bonheur pour moi. Il faut aussi du pétillant, des sourires, des rires, des fous rires parfois, tout ce qui apaise ton visage, en fait une terre nouvelle et belle.
Tu me rends " bulle", emplie d'une énergie qui me ferait enfermer le monde entre mes mains.
Il y a toute cette mémoire de nous. En elle je dépose aussi tes moments de relâchement, quand tu oublies un peu tes questionnements et que tu laisses revenir à moi l'homme apaisé, l'homme qui rit, l'homme qui a alors ce regard qui me chavire.
Je t'ai un peu perdu quelque part depuis quelques temps, dans cet espace où ta raison, tes inquiétudes ont pris le pas sur l'homme élan que tu es.
Tu me dis " je suis globalement heureux". Peut on être "globalement" quelque chose? Quand as tu mis de côté celui qui regarde le monde? Quand as tu laissé tes quotidiens et tes avenirs assombrir tes présents?
Je te regardais et t'écoutais rire et je reposais ma main sur toi, toi homme mien, toi mon amour et ma merveille. Eblouie...
Crois tu que je ne  "t'entends" pas, que je ne te "sens" pas? Crois tu que je ne perçois pas toutes ces vibrations en toi, tout ce qui tourne, ce qui va et ce qui ne va pas? Le crois tu vraiment?
T'aimer c'est aussi te ressentir. Profondément. T'entendre. Entendre que tes silences sont vibrations pour moi.
Tu ris et je suis bien. J'ai réussi à mettre un soleil sur ton visage. Et je suis bien. Bien parce que dans ces sourires, tes rires, ton regard qui retrouve le chemin de moi, j'ai tout cet amour de toi qui s'étale, qui me rend électrique, sensitive, ultra sensible.
Tu es si beau quand tu souris. Tu as ce mouvement des lèvres qui me donne des frissons.
Tu es beau... si beau.
A chaque fois cela m'émerveille. Chaque fois cela me bouleverse.
Je te ressens. J'apprends à respecter tout ça. J'apprends.
Je t'aime. C'est simple , si simple. Et parce que je t'aime toujours autant je t'entends.
Je te regardais rire aujourd'hui. Je t'écoutais, avec ta voix que j'aime tant.  Je te regardais et je remerciais l'univers d'avoir permis à toi mon atome de me percuter. De m'avoir permis cette offrande que tu es pour moi. Je sais que tu iras tournoyer ailleurs, dans d'autres confins. Que moi aussi je reprendrai surement ma danse. Que je devrai accepter de voir mon atome fait homme s'en aller vers l'infini. Mais tu es là. Mon atome, mon homme, ma merveilleuse histoire, ma belle histoire d'amour.
Je te regarde, je t'écris. Ce soir mes mots ont la musique de cette magnifique chanson, ce pas de deux entre un homme et une femme mis en beauté, "An Hini A Garan"...
Il restera à ma mémoire toi, homme mien, homme infini, toutes ces musiques qui t'ont brodé en moi.
Mon homme musique.
Et cette attraction qui n'en finit pas, qui me porte vers toi.
Je suis éblouie par ça, par l'amour pour toi que j'ai et qui ne faiblit pas.
C'est juste ma vie, petite vie, que tu as rendu arc en ciel par ta présence et par ton regard.
Alors je vais me répéter, encore et encore, litanie amoureuse : tu es mon homme bien. Et j'espère qu'un jour tu accepteras de te retrouver, que tu refuseras cette vie où l'on décide pour toi, où l'on ne te permet aucun envol, aucun voyage, aucun rêve hormis celui de quotidiens " plannings et agendas". Et où tu ne t'aimes pas assez pour te ré affirmer.
Mon homme prisonnier, mon homme à aimer, mon homme à choyer, à aimer encore et toujours...
Pas de barreaux, pas de prison. Tu n'es pas un prisonnier. Tu n'es pas une habitude. Tu n'es pas un meuble.
Tu es mon homme libre. Mon fort et mon fragile. Tu es homme à aimer. Simplement à aimer.
Et je suis une femme tellement fière de toi que je crois que je pourrais en mourir d'orgueil.
Je t'aime en esprit et en corps, en âme et en mots, en peau et en moments partagés, en odeurs, en goûts, en touchers, en caresses, en silences et en désirs. En mots naïfs, en mots fleur bleue, en mots sentimentaux, tous ces mots qui disent qu'un homme et une femme s'aiment. Pas seulement en Raison.
Sinon ce n'est pas aimer. Aimer c'est aussi l'impatience, le fourmillement, la plénitude, une voix, un signe, des mains qui exigent sur la peau, un corps qui vous prend, une bouche qui vous ouvre, un fou rire partagé, un sentiment de bonheur absolu aux côtés de l'autre, des défauts, des perfections, des énervements, des mains qui se frôlent, une bouche qui soudain se fait histoire.
Tu habites mon espace. Tu es cet espace.
Regarde toi et aime toi. Regarde moi et aime moi. Et le monde devient fenêtre.
Je te regarde mon amour. Je te regarde et je t'aime. Seul cela importe. Je t'aime et je te fais livre et poésies.
Je te regarde et je t'amour, je te souffle, je te yeux, je te odeur, je te Pléiades, je te frisson...
Tu es mien, mon homme et immense et simple, et compliqué et simple, et fragile et simple, et désirable et simple. Homme tout simplement. Mais homme magique pour moi, homme particulier, homme unique.
Je t'aime.

MMD





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