mercredi 20 décembre 2017

Merci amour mien. Merci. J'ai pu ouvrir ce que tu m'as envoyée. Merci à toi mon magnifique.
Et merci pour ton rire, pour ta voix, pour tes mots, pour ton humour que je retrouve à chaque fois avec tant de plaisir.
Merci.
Me lasserai-je un jour de te regarder? Je ne crois pas. Te voir rend tout tellement plus facile. Entendre ta voix est un cadeau permanent. Comme à chaque fois elle se pose sur ma peau et je redeviens cette femme affolée qui apprenait à tisser ta voix dans la pénombre d'une pièce, là-bas, au tout début, à notre premier nous. Je t'écoute et à nouveau je ne suis que perception aiguë de toi, de ce qui se lie, de ce qui s'éveille en moi.
Je t'aime.
Aujourd'hui je te regardais et en moi une voix, ma voix amoureuse, ma voix femelle, ma voix charnelle, murmurait avec émerveillement " c'est mon homme".
Tu es si beau. Je retrouve tes traits, ton regard, cette manière tellement tienne de poser tes yeux, de scruter. Je retrouve ce truc un peu rauque dans ta voix quand tu parles de ma bouche.
Et les papillons dans mon ventre, l'impression d'avoir la peau ultra sensible, réceptive juste à toi et au désir que j'entendais en tes mots.
Je t'aime. Je t'aime.
Et je regardais une partie de notre histoire ce soir, ce nous où je fus si heureuse, eux et toi. Et l'éternité que nous possédons. Et tout ce qui vient. N'entendre que tous ces vents, cette mer, ces immensités, ces moments de paix, nous à nous aimer dans des partages, nos bras repliés sur l'autre, mes bras arrondis à eux, à toi, à nous, nos regards qui se font l'amour, des mains qui se prennent, des sourires plaisir, des murmures et ta main sur mon épaule...Et toi qui me chuchotes soudain " Je t'aime"...
Je t'aime. Et par cet amour pour toi, par tout ce qui me lie à toi, par tout ce qui me rend heureuse de toi, je sais que j'ai choisi le seul destin qui me soit acceptable, celui où tu es. Et toi. Toi mon homme, toi mon coeur. Toi ma vie. Toi le seul corps que je puisse accepter. Toi les seules mains qui sont capables de me rendre dingue.
Merci étoile, merci mon magique, merci mon tendre.
Tu me dis que je n'écris plus rien de nouveau. Si, pourtant. Mais je n'écris bien que quand tu es là, dans tes petits messages, dans ta présence qui me rend vivante.
Cette nuit le manque est un peu plus pointu. Tu manques à ma peau, tu manques à mon corps, tu manques à mon âme, tu manques à mon esprit.
Tu me manques.
À toi ma merveille d'homme, mon amoureux, mon amour d'homme, mon mien...
Tu me manques. Je t'aime.
Je t'attends. Peut être qu'un jour tu viendras ici, dans cette terre où le soleil se couche. Quelques jours.
Peut-être...
Je t'aime mon lointain aimé, mon tout, mon souffle et tout ce qui me rend femme.
Je t'aime. Tu me manques.

MMD

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