vendredi 6 avril 2018

Mon ange, mon tendre,
aujourd'hui fait partie des instants suspendus, ces instants de nos voix, de nos mots de l'autre, de nos mots de nous. L'abandon à l'autre dans le besoin de dire l'amour, de dire le manque, de nous raconter.
Et l'espoir. Crois y. Accroche toi à lui. Cet espoir c'est nous, c'est toi en ma vie, physiquement, c'est ce que nous osons rêver, envers et contre tout.
Tu me dis " je suis shooté à ta voix, aux merveilles que tu me dis". Je ne te dis pas des merveilles, je te dis toi. Simplement toi. Toi dans mon amour pour toi, dans ce que je ressens, ce que je porte au plus profond de moi. Toi.
Je t'aime. J'aimerais rentrer chez nous. Chez nous c'est toi. Tu es ma seule terre, mon île, mon pays.
Je te le disais ce matin : l'autre jour je regardais tes mains et je pensais à tout ce qu'elles savent faire, toute leur force, toute leur douceur, tout leur abandon parfois. Ces mains, tes mains, je les aime. Mains d'homme. Mains de mon amour. Elles sont belles.
Puis j'ai regardé tes bras, ton profil. Et tout. Et eux. Je te retrouve en eux, cette façon d'être campés à la terre, cette solidité, cette énergie, ce bonheur vécu, la joie de l'instant et ton sourire...
Non je ne te dis pas des merveilles. Je n'ai pas assez de mots pour te dire que je t'aime et te dire toi.
Tu me manques mon tendre. Tu me manques. Membre fantôme. Et, en même temps, si présent. Toujours là, dans chacune de mes secondes.
Dans chacun de mes gestes. Dans mon corps que je fais doux, tout le temps, pour que tes mains s'y posent dans ma mémoire. Dans ma peau. Dans ma tête. Dans mon coeur. Partout, tout le temps. Tu accompagnes même mes sommeils.
Ce matin, avant que le réseau ne coupe, je te regardais. Sais-tu le frisson que je ressens quand je te vois? Et mon émerveillement permanent? Et mon désir de toi? Et ma folie de toi? Je pourrais dessiner ton visage les yeux fermés. Tu es beau. Beau.
Et oui, je te dis et redis mes mots amoureux, mots naïfs : tu es mon prince, mon héros, mon chevalier, mon beau, mon tendre, mon homme, mon monde, mes étoiles, mon soleil, mon tout. Je ressens ça depuis le premier soir. Tout est intact. Je regarde une photo de toi et je suis toute chamboulée. Je souris. C'est plus fort que moi. Je te regarde. Et je me retrouve dans une odeur en ma mémoire. Ton odeur. Je l'aime. Te souviens-tu combien j'aime mettre mon nez dans ton cou et te respirer? Juste te respirer. Ton odeur chaude, là sur ta peau. Et moi en paix.
J'aurais aimé te rencontrer bien avant. Tu m'aurais protégée. Tu m'aurais apaisée. Tu m'aurais rendue à moi plus tôt.
Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Et j'entends ton amour. Il est là, dans notre écriture à 4 mains. Il est là, qui va me prendre dans ses bras pour permettre le sommeil. Il est là dans Havasi que j'écoute. Il est là dans ma main qui effleure doucement l'endroit où tu t'asseyais. Il est là amour mien. Tu es là. Je t'aime. Tienne. Tienne. Entièrement tienne, corps et âme, coeur et peau, sexe et désir, intelligence et partages. Je t'aime mon âme familière, ma belle belle âme familière.
À l'amour homme mien, à l'amour. À ce que nous construisons. À nous. À eux.
Je t'aime. Mon homme à aimer. Je te ma vie, je te ma mémoire, je te désirs, je t'amour.

MMD



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